Dans le cadre de l'émission "6 Minutes pour trancher" diffusée sur RTL ce mardi 23 février 2016, Laurent Abitbol, président du directoire de Marietton Investissements s'est adressé au Premier ministre, Manuel Valls, pour lui dire tout le bien qu'il pensait du projet de réforme du Code du travail - Photo Capture écran vidéo RTL
Eh oui, rien ne va plus. Voilà que les hommes de droite se prennent soudain des fureurs de vivre à gauche, tandis que ceux, théoriquement de gauche, engagent, enfin, des réformes économiques que n'auraient pas renié les droitiers.
Bref, en fin de règne, on s'aperçoit qu'il est temps de se mettre au boulot.
Et que le premier ministre, de gauche, en oublie certainement le socialisme pour considérer enfin que l’économie du pays mérite quand même certaines réformes.
Le projet de loi sur la « Réforme du Code du Travail » en est un exemple flagrant.
Nous avons, reconnaissons-le, en France, un système social extraordinaire et que le monde entier nous envie.
Je crois bien que rarement dans le monde économique, les citoyens ont été aussi protégés, aidés, parfois assistés. A la limite, dirons certains, de l'irresponsabilité.
Bref, en fin de règne, on s'aperçoit qu'il est temps de se mettre au boulot.
Et que le premier ministre, de gauche, en oublie certainement le socialisme pour considérer enfin que l’économie du pays mérite quand même certaines réformes.
Le projet de loi sur la « Réforme du Code du Travail » en est un exemple flagrant.
Nous avons, reconnaissons-le, en France, un système social extraordinaire et que le monde entier nous envie.
Je crois bien que rarement dans le monde économique, les citoyens ont été aussi protégés, aidés, parfois assistés. A la limite, dirons certains, de l'irresponsabilité.
Seulement le monde a évolué, l'économie aussi et ce qui était valable hier n'est plus forcément de mise aujourd'hui. D'autant que tout ceci a un coût et qu'il faut bien que quelqu'un paye.
On a bien sûr accusé ces salauds de patrons. Le chômage, c'est de leur faute. Ben non, même si comme partout, existent des patrons voyous, vivent aussi bon nombre de salariés voyous.
A un moment, droite ou gauche, faut quand même un peu d'ordre dans tout ça.
Et il est vrai que, si l'on consulte toutes les statistiques, actuellement en France, 85% des embauches se font sous forme de contrats à durée déterminée.
Les entreprises, particulièrement les PME ou les TPE, une grande majorité dans notre monde du tourisme, craignent d'engager du personnel.
Des charges abracadabrantesques, des contraintes drastiques et au final, quand l'entreprise souffre, impossible ou du moins très difficile de se séparer de la masse salariale.
On a bien sûr accusé ces salauds de patrons. Le chômage, c'est de leur faute. Ben non, même si comme partout, existent des patrons voyous, vivent aussi bon nombre de salariés voyous.
A un moment, droite ou gauche, faut quand même un peu d'ordre dans tout ça.
Et il est vrai que, si l'on consulte toutes les statistiques, actuellement en France, 85% des embauches se font sous forme de contrats à durée déterminée.
Les entreprises, particulièrement les PME ou les TPE, une grande majorité dans notre monde du tourisme, craignent d'engager du personnel.
Des charges abracadabrantesques, des contraintes drastiques et au final, quand l'entreprise souffre, impossible ou du moins très difficile de se séparer de la masse salariale.
Croyez qu'il est assez difficile de ma part d'écrire de telles choses, mais c'est hélas la triste réalité !
Manuel Valls a compris que sans une réforme indispensable du Code du Travail, tout resterait figé et que les entrepreneurs n'étaient pas près à risquer la vie de leurs entreprises pour « aider » le bon président Hollande à respecter ses engagements de faire baisser le chômage.
Donnant-donnant. C'est Madame El Khomri, ministre du travail, qui a hérité de la patate chaude.
Pas de la tarte, mais il est indispensable de prendre des mesures, de façon à ce que, enfin, les entrepreneurs puissent engager du monde... à temps plein et sans crainte !
De même que les salariés seraient sûrement satisfaits de se voir proposer des contrats à durée indéterminée, sans être obligés de devenir fonctionnaires.
Je sais, j'en vois des syndicalistes et des autres qui vont hurler en lisant ces lignes !
Tant pis, moi j'aime les gens de gauche qui parfois pensent à droite. C'est aussi ça l'exception française et ça fait du bien.
D'ailleurs, t’a un adepte. Ceux qui ont écouté le premier ministre hier matin sur la TSF de RTL ont eu la surprise d'entendre un auditeur, un certain Laurent, Président d'Havas, déclarer son enthousiasme à Manuel Valls.
N'empêche que le « j'irai jusqu'au bout » clamé par le premier ministre a clairement motivé Laurent, Abitbol vous l'aurez reconnu.
Parce qu'il hésitait encore avant de racheter quelques agences, histoire de parfaire la collection, engager un peu de monde.
Ben, c'est Valls qui aura contribué à créer quelque 47 emplois... dans le tourisme. Et qui viendra, en grande pompes (cirées) vérifier les contrats. En tout cas, s'il a plus de boulot en 2017, il pourra toujours faire DRH chez Abitbol !
Vous verrez, bientôt, à défaut de président, on aura un Premier ministre à l'inauguration de Top Résa !
Manuel Valls a compris que sans une réforme indispensable du Code du Travail, tout resterait figé et que les entrepreneurs n'étaient pas près à risquer la vie de leurs entreprises pour « aider » le bon président Hollande à respecter ses engagements de faire baisser le chômage.
Donnant-donnant. C'est Madame El Khomri, ministre du travail, qui a hérité de la patate chaude.
Pas de la tarte, mais il est indispensable de prendre des mesures, de façon à ce que, enfin, les entrepreneurs puissent engager du monde... à temps plein et sans crainte !
De même que les salariés seraient sûrement satisfaits de se voir proposer des contrats à durée indéterminée, sans être obligés de devenir fonctionnaires.
Je sais, j'en vois des syndicalistes et des autres qui vont hurler en lisant ces lignes !
Tant pis, moi j'aime les gens de gauche qui parfois pensent à droite. C'est aussi ça l'exception française et ça fait du bien.
D'ailleurs, t’a un adepte. Ceux qui ont écouté le premier ministre hier matin sur la TSF de RTL ont eu la surprise d'entendre un auditeur, un certain Laurent, Président d'Havas, déclarer son enthousiasme à Manuel Valls.
N'empêche que le « j'irai jusqu'au bout » clamé par le premier ministre a clairement motivé Laurent, Abitbol vous l'aurez reconnu.
Parce qu'il hésitait encore avant de racheter quelques agences, histoire de parfaire la collection, engager un peu de monde.
Ben, c'est Valls qui aura contribué à créer quelque 47 emplois... dans le tourisme. Et qui viendra, en grande pompes (cirées) vérifier les contrats. En tout cas, s'il a plus de boulot en 2017, il pourra toujours faire DRH chez Abitbol !
Vous verrez, bientôt, à défaut de président, on aura un Premier ministre à l'inauguration de Top Résa !